Où acheter des bitcoins ?

Nombreuses sont les plateformes où vous pouvez acheter et vendre vos bitcoins. Le plus important est que vous choisissiez un site connu, un site simple d’utilisation et fiable pour effectuer vos transactions numériques. Vous pouvez notamment acheter et vendre du BTC ici. Pour faire plus de profit, vous pouvez aussi stocker vos monnaies virtuelles pour les vendre au bon moment. Il faut toutefois souligner que le marché des cryptomonnaie est parsemé d’embûches à cause de sa fluctuation. En effet, le prix du bitcoin peut varier d’un à plusieurs milliers d’euros en quelques mois seulement. Prudence est alors le maître-mot pour s’aventurer dans cet investissement. Vous pouvez constituer un portefeuille de devises numériques sur la blockchain et mettre en place une stratégie à court ou à long terme.

Comment encadrer votre investissement ?

Pour votre premier investissement, placez-y uniquement la somme que vous êtes prêt à perdre. En effet, il s’agit d’un investissement probable et même avec des outils affûtés, on n’est jamais sûr de quoi que ce soit. En tout cas, utilisez des outils d’analyse pour suivre de près la fluctuation du marché. Vous pouvez stocker vos bitcoins sur le court ou sur le long terme. Néanmoins, il faut garder à l’esprit que les cryptomonnaies ne sont pas comme les métaux précieux qui prennent naturellement de la valeur avec le temps. La valeur du bitcoin peut augmenter et diminuer au cours de l’année. Quoi qu’il en soit, le rendement est très important, car il peut aller jusqu’à 38 %.

Optimiser l’épargne au quotidien

L’épargne au quotidien nécessite une maitrise financière importante. Il requiert des efforts et habitudes au quotidien pour dépenser moins et épargner plus. En guise d’exemple, il vaut mieux cuisiner que de sortir souvent au restaurant. Vous ne considérerez pas la somme que vous pourrez épargner sur le long terme. Vous pouvez également optimiser vos habitudes d’achat en attendant les périodes de solde, en utilisant des codes de réduction, etc. Enfin, penchez-vous sur vos abonnements comme le téléphone et Internet. Choisissez l’offre qui répond le plus à vos besoins et évitez la surconsommation. Et pour toutes vos assurances (habitation, auto, santé), regroupez vos contrats au sein d’un même établissement pour obtenir une réduction conséquente.

Faire fructifier le montant épargnés

Ne vous contentez pas à épargner au quotidien. Rassemblez la somme épargnée et faites-le fructifier en choisissant un support d’épargne chez votre banque. Le plus courant étant le compte ou le livret d’épargne. N’hésitez pas à verser régulièrement de l’argent puisque plus les montants déposés sont conséquents, plus les intérêts sont élevés. Si vous avez du mal à épargner au quotidien pour mettre de côté de l’argent à chaque fin du mois, optez pour un prélèvement automatique.

Les finances islamiques sont des services bancaires et financiers selon les règles et les préceptes du Coran. Elles sont nées dans les années 70. Ce type de forex attire de plus en plus de gens, qu’ils soient religieux ou pas. Dans le monde occidental, le Royaume- Uni est celui qui a le plus adopté ce type de forex.

Les principes du forex islamique

Le forex islamique se base sur deux principes fondamentaux. Le premier est celui du partage des produits ainsi que des risques dans le cadre d’une affaire. Le deuxième porte sur l’interdiction de la perception de toutes formes d’intérêt car selon la Sharia, il est interdit de percevoir la Riba, qui est, dans le droit musulman, toute forme de surplus perçu par un contractant. En d’autres termes, dans le forex islamiques, il n’existe pas de taux d’intérêt, contrairement au système financier dit, traditionnel tel qu’on le connait.

Les avantages des comptes forex islamiques

Le principal avantage avec les comptes forex islamiques est l’absence du SWAP qui est un différentiel sur les taux payés et reçus car ceci va à l’encontre des lois du Coran.

Les brokers du forex islamiques

Le forex islamique est de plus en plus répandu. Ainsi, ils ont ouverts de bureaux de liaisons dans les pays du Golfe pour une plus importante place sur le marché. Malgré le fait qu’en 2010, le mouvement du forex islamique a connu quelques freins par rapport à la fermeture de plusieurs bureaux de brokers dans la région, aujourd’hui, on peut en trouver différents brokers qui proposent des offres alléchantes n’allant pas à l’encontre du Coran. Il y en a même quelques uns qui sont présents sur Paris, notamment la Banque d’investissement en ligne « Saxo Banque », le courtier Etoro ou encore la firme AVAFX.

L’affectation du crédit

Lors d’un prêt sur ArgentDirect, vous remarquerez que le courtier ne vous demande pas d’informations personnelles. Oui, sachez que la loi n’astreint pas un établissement de crédit à enquêter sur votre parcours financier. Par ailleurs, l’institution qui vous décerne le crédit n’a pas à vous obliger à lui communiquer l’utilisation de la somme empruntée. Elle ne peut non plus vous contraindre à une dépense spécifique financée par le montant du crédit. Si c’est le cas, alors vous êtes en présence d’un crédit affecté qui est une forme du crédit à la consommation. En définitive, vous êtes libre de disposer entièrement de la somme vous l’entendez.

Le choix de l’assureur

La loi n’impose pas la souscription d’une assurance destinée à couvrir les incidents de remboursement. C’est l’établissement qui prend cette initiative pour se protéger. Cependant, le prêteur n’a pas le droit de vous imposer sa propre assurance. Vous choisissez librement la compagnie auprès de laquelle vous souhaitez souscrire un contrat.

Les informations demandées

Ici également, la loi française n’a pas établi une liste d’informations obligatoires à vous demander. Toutefois, elle n’interdit pas à l’établissement de crédit de vous demander des éléments susceptibles de l’éclairer sur vos capacités à rembourser le montant emprunté. Votre solvabilité est évaluée en fonction de plusieurs critères : votre inscription ou non au Fichier des incidents de remboursement des crédits aux particuliers (voilà pourquoi, entre autres, la banque vous demande un justificatif de domicile et d’identité), le montant de vos revenus, la nature de votre contrat de travail.

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Les ports belges et français ont toujours bénéficié d’avantages fiscaux

Il ne s’agit pas d’un seul port, mais de toute une liste d’amarrage des navires sur les zones fluviaux et maritimes. Rien que pour la Belgique, on compte plus d’une dizaine de ports dont le Bruges, l’Anvers, le Liège, le Charleroi, le Gand, l’Ostende et le Namur. Il faut également ajouter à cette liste tous les canaux qui desservent les provinces de Flandres et de Hainaut. De leur côté, les ports français sont également nombreux à profiter de l’exonération fiscale. On peut citer en outre le port de Marseille, de Rouen, du Havre, de Dunkerque, de Bordeaux, de la Guyane ou encore de la Rochelle.

Améliorer la gestion fiscale des ports pour retrouver une concurrence saine

Le véritable problème est que ces ports sont assujettis à d’autres formes d’impositions fiscales. De plus, la plupart d’entre eux sont sous l’égide des Chambres de commerce et de l’industrie, la gestion fiscale en est ainsi rendue difficile. Pour la commission européenne, ce modèle économique ne doit plus être préservé si l’on veut établir une concurrence saine entre les pays membres.

Les conditions des versements pour l’entreprise

Le PEE, le PEI ou encore le PERCO sont déductibles de la base imposable, ils ne font pas partie des plans d’imposition pour les cotisations sociales ni les participations sur les salaires. Le plafonnement des versements diffère toutefois d’un plan d’épargne salariale à un autre, à savoir le PEE et le PEI suivent un barème de 8% du versement annuel sur la sécurité sociale, contrairement au PERCO où ce plafonnement est doublé, 16%.

Les salariés sont-ils exonérés de la taxe fiscale ?

Pour un Plan d’Épargne Entreprise PEE, la part salariée bénéficie d’une exonération de l’impôt sur le revenu à condition que l’employé continue à faire ses cotisations au PEE pendant une durée minimale de 5 ans. Ses actions n’incombent pas le paiement de taxes fiscales. De même pour le PEI, si le salarié parvient à maintenir ses participations durant les 5 ans, il a droit à une exonération d’impôt. Quant au PERCO, le capital ou la rente viagère

Un marché en parfaite santé

L’indice CAC 40 est très promettant pour les acteurs économiques. Il est à 5 122,51 % avec un volume d’échanges de 3,8 milliards d’euros durant ce premier trimestre 2017. La cote parisienne est en parfaite santé en ce moment. Le marché se concentre plutôt sur l’économie que la politique tant sur le plan national qu’international. D’ailleurs, même si la politique est au cœur de nombreux débats actuellement en France à l’approche de la présidentielle, le thème politique reste toutefois en arrière-plan par rapport à l’économie.

Qu’en est-il de l’inflation à travers le monde ?

Les indicateurs montrent que l’inflation, c’est-à-dire les prix basés sur les dépenses des ménages, a progressé de 2,1 % aux États-Unis. En effet, en Amérique, les dépenses des ménages ont cessé de progresser tandis que les revenus augmentent. Dans la zone euro, l’inflation tourne au ralenti surtout en mois de mars. La banque centrale européenne ou BCE doit poursuivre ses stratégies pour stimuler les prix et donner un coup de pouce à l’inflation. Pour illustration, Remy Cointreau a progressé à +3,26 % à 91,77 euros, Eutelsat à + 3,72 % à 20,93 euros, SES à + 3,83 % à 21,81 euros, Altran Technologies à + 3,65 % à 15,78 euros. ArcelorMittal arrive en fin de la liste avec -1,17 % à 7,89 euros. D’autres groupes ont par contre eu plus de chances comme Transgene qui affiche une progression de 23,19 % à 3,40 euros et le Groupe Flo de 13,46 % à 1,18 euro.

Un progrès en 2016

En 2016, le FMI a déjà mis l’accent sur une progression de plus de 1 % de l’économie canadienne. Pour cette année 2017 ainsi que 2018, l’organisme estime une forte croissance effleurant les 2 % du PIB canadien.
Le chiffre en 2016 dépasse celui prédit par le FMI en octobre 2016, sachant qu’il a signalé une performance économique canadienne limitée à 1,2 % du PIB. Si la prévision pour 2017 reste la même, l’organisme s’attend à une hausse correspondant à 0,1 %.

Cas Pour le Mexique

Mais ce n’est pas le cas pour le Mexique qui a connu une baisse environnant les 0,5 % aussi bien pour 2016 que pour 2017 par rapport aux prédictions du FMI en octobre 2016. Cette période correspondait, en effet, à celle précédant l’élection du nouveau Président américain en novembre.
L’organisme prédit une hausse par rapport au Canada en 2016 avec le taux de croissance économique de 2,2 %, avant de connaître une baisse en 2017 et 2018 avec des taux respectifs de 1,7 % et de 2,0 %.
Avant, le Mexique a toujours été sujet à des critiques à l’initiative du président américain nouvellement arrivé au pouvoir. Il a même ambitionné à construire un mur géant destiné à séparer les deux pays, une fois élue. Mais selon le président du FMI, Maurice Obstfeld, il est encore impossible de bien définir si cette baisse est déjà une des conséquences de l’arrivée au pourvoir de D. Trump.

Dettes allemandes : état des lieux

Tout comme la France, l’Allemagne a besoin d’emprunter encore plus pour son programme de financement. Ces dettes qui seront mises sur le compte de 2017 ne serviront pas uniquement à financer les programmes du pays sur le marché. Elles participeront également à refinancer les dettes du passé. Ces 160 milliards seront divisés en titres de moyen et long terme. Il est vrai que c’est une somme capitale, mais légèrement en baisse par rapport à 2016. Ce qui ne signifie pas que l’Allemagne a besoin de moins de fonds pour 2017. Il a eu un excès budgétaire de 8 milliards d’euros en 2016. D’où la légère baisse de la dette prise pour 2017. Le stock de dettes qu’il faut rembourser reste encore important. Il s’élève à 1, 127 milliards à la fin 2016 contre un PIB de 3, 300 milliards. Le taux moyen d’emprunt de l’Allemagne est de 0,74 % en 2016.

Les volumes émis toujours en hausse

Même si la valeur empruntée semble baisser par rapport à l’année 2016, les titres émis sont toujours en hausse depuis quelques années pour l’état allemand. Pourquoi emprunter encore une fois sur 30 ans ? Ces 30 années correspondent en effet à 11 attributions qui valent chacune 1 milliard. Les volumes émis par l’état ne cessent d’augmenter. Ils ont pris un écart de 2 milliards par rapport à 2016 et de 5 milliards par rapport à 2015. Cette augmentation a pour principal objectif d’allonger la durée de vie des titres émis. Elle sera de 7,5 années en 2017 contre 7,1 années en 2016.

Les vérifications à faire

Pour récupérer la TVA depuis l’étranger, les entreprises françaises doivent passer par le portail électronique de l’administration fiscale française. Avant cela, prenez soin de vérifier que votre entreprise est bien assujettie à la TVA en France et qu’elle n’a pas réalisé des prestations de services imposables dans les pays où les dépenses font l’objet de récupération de TVA.

Ces points assurés, voyez si les dépenses que vous avez effectuées sont vraiment nécessaires au développement économique de l’entreprise et si elles sont déductibles dans les pays faisant l’objet de demande de récupération de TVA.

Enfin, assurez-vous que les dépenses sont justifiées. Que vous optiez pour un mode de paiement en cash ou par carte, demandez toujours une facture. N’oubliez pas aussi de vérifier que les factures comportent bien un numéro de tva intracommunautaire de votre entreprise et du fournisseur.

La TVA intracommunautaire – une étape prioritaire

En effet, le numéro de tva intracommunautaire agit comme un identifiant fiscal indispensable pour votre entreprise au sein de l’Union Européenne. Celui-ci permettra à l’administration de vous retrouver afin de comprendre votre demande et de régulariser votre situation fiscale. La tva intracommunautaire, sur le même principe qu’une tva classique, va taxer les consommateurs (ici les entreprises).

Les taux de tva européens étant tous différents en fonction des pays concernés, le suivi d’un cas fiscal à partir de la tva intracommunautaire sera plus aisé. Ainsi, ce dernier se révèle obligatoire dans la mesure où vous souhaitez récupérer la tva. Si vous ne connaissez pas votre numéro de tva, vous pouvez le demander aux autorités fiscales ou utiliser un service en ligne (payant) pour l’obtenir facilement.

Les démarches à suivre pour récupérer la TVA

Pour récupérer la TVA, rendez-vous sur votre compte fiscal en ligne. Faites la demande de remboursement en allant sur « espace abonné » et « effectuer une démarche ». Vous devez ensuite saisir les relevés de vos achats. N’oubliez pas de bien préciser la nature et la codification fiscale de chacun de ces achats. Enfin, mettez en pièces jointes les copies scannées des factures. Les démarches étant initiées, les pays où ont été effectuées les dépenses ont 4 mois pour donner sa décision.

Si ces étapes peuvent paraître chronophages pour certains, sachez que le jeu en vaut la chandelle. Mais attention, pour profiter de cette opportunité de remboursement de TVA, vous devez absolument respecter les délais. Les démarches doivent en effet être initiées avant le 30 septembre de l’année qui suit les dépenses.